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(Les hadiths et versets coraniques sont également cités en langue arabe)

Si on devait diviser les musulmans d’aujourd’hui sur les croyances liées aux djinns, à la magie et au mauvais œil, on verrait trois groupes distincts : les premiers, la majorité peut-être, ont une vision exagérée, voir aberrante, de ces choses-là ; leur foi, basée essentiellement sur la légende, relève parfois même du paganisme. Le second groupe, la minorité certainement, nie, à cause de l’aberrance des premiers, beaucoup de vérités attestées par la révélation divine ; certains nient même l’existence des djinns ! Reniement qui pourrait leur valoir l’apostasie vu le très grand nombre de textes sacrés qui attestent de leur existence. Et le troisième groupe, se veut correcteur des déviations des uns et des autres.

Parmi les prémisses du jour dernier il y a la mort, qui est la petite station debout, lorsque le terme de chacun arrivera, qui nous fera passer d’ici-bas à l’eau delà. Allah rappelle la mort aux serviteurs, car, lorsque arrive la mort, les actes de l’homme sont finis et elle ne peut être repoussée. Cet excellent livre tiré lui même de l’ouvrage Al-‘Irshad du Shaykh Sâlih Al-Fawzân traite d’une thématique importante pour chaque croyant.

Lorsqu’Abu Bakr As-Siddiq tomba malade, ‘Umar fut désigné pour diriger la prière à sa place. Et c’est durant sa maladie qu’Abu Bakr désigna ‘Umar en tant que successeur au poste de calife. Il dicta sa décision à ‘Uthman ibn ‘Affan qui rédigea le décret. Ce dernier fut lu aux musulmans qui en acceptèrent la teneur et se soumirent à la décision du calife mourant.